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Les ombres familières

« L’amoureux et moi avons dévoré ce livre en quelques heures, incapables d’arrêter, après l’avoir ouvert au hasard, dans ma pile des nouveautés de la rentrée. »

Chantal Guy, La Presse

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« Il fallait une grande sensibilité pour présenter autant d’histoires sans tomber dans la répétition, le doute ou le jugement. C’est pari réussi pour Brault qui offre un ouvrage incroyable, touchant, sensible, émouvant et terriblement vrai. On en redemande dès l’avoir fini. C’est une lecture qui m’a bouleversée, que je vous la recommande absolument. »

Annick Lavogiez, Page par page

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« C’est un énorme travail d’assemblage qu’a réalisé Vincent Brault et le tout est un véritable page turner. » Megane Therrien, Artichaut magazine

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« Le nouveau livre de Vincent Brault est un hommage à tous ces récits d'apparitions inexpliqués qui fabriquent la trame secrète de nos mythologies. [...] "Les ombres familières" est un livre indéniablement addictif, étonnant tout du long et qui reconnaît le surgissement de l'extraordinaire dans nos réalités friables. » Olivier Boisvert, Librairie Gallimard

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« Dans Les ombres familières, de Vincent Brault, publié en septembre chez Héliotrope — mais que je lis maintenant parce qu’il me semble qu’il faille le lire en novembre, ce livre —, on trouve une collection d’expériences anomales [anomale, pour anomalie] recueillies par l’auteur sur des années. Chacune d’elles parle aussi d’un deuil, d’une perte qui jette la psyché dans un travail de digestion de quelque chose qui n’a ni forme ni réalité, malgré le grand tsunami d’affects qu’elle crée en nous. » Nathalie Plaat, Le Devoir

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« Vincent Brault a récolté de nombreux témoignages qu'il a triés sur le volet pour en faire un collage fascinant et envoûtant dans Les ombres familières. Ces récits sont parfois réconfortants, parfois effrayants, mais tous traduisent notre rapport à la mort et au deuil, en laissant transparaître beaucoup de notre société. Cela fait de cet objet littéraire un tout qu'on dévore comme un roman à l'intrigue bien ficelée.  » Julie Cyr, revue Les libraires

Le fantôme de Suzuko

« Délicatement poétique et sensuel, Le fantôme de Suzuko parle d’amour et de perte, mais aussi de flamboyance et de fragilité. » Frédérique Roussel, Libération

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« Qui est le masque de quoi? Sans pouvoir mettre un mot sur l’attirance magnétique que la jeune femme exerce sur lui, le héros va alors comprendre, dans ce troisième roman troublant de Vincent Brault, que la frontière qui sépare les êtres et les identités n’est pas si aisée à déterminer. » Élise Raimbaux, Le Monde

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« Superbe livre sur l’absence et la perte de repère, mais aussi ode au désir et à l’amour passionnel, ce troisième roman de Vincent Brault est une proposition littéraire comme on en voit peu au Québec. » Gabriel Guérin, Les libraires

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« Bref, c’est un livre superbe qui nous fait découvrir la splendeur de Tokyo, tout en nous enveloppant de la tourmente qu’apportent, chacun à leur façon, l’amour et le deuil. On se laisse imprégner par l’unicité du personnage de Suzuko. Un roman étrange, sensible et beau.» Françoise Conea, Page par page

 

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« Soutenu par une bonne construction du récit, une poésie savamment dosée (ni trop, ni pas assez), une restitution très honnête de Tokyo et de sa faune sociale, esquivant les clichés, Le fantôme de Suzuko aspire à une intrigante tendresse elle-même très nipponne. Une histoire à fleur de peau. ★★★★ » Sylvain Sarrazin, La Presse

 

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« Dans ce roman d’une sensualité folle, où se croisent une femme aux paupières incandescentes, un peintre serbe, une taxidermiste, des flamants roses et des corbeaux, une renarde et des chats sans queue, vous resterez suspendu au fil magnifique d’un récit baigné de mystère. » Éric Chouan, Mission encre noire

 

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« Vincent Brault édifie une œuvre presque tangible par la texture des fourrures et l’animalité qui s’exprime à travers la sexualité du couple. Du même souffle, il évoque aussi l’impalpable au plus profond de l’être qu’on ne réussit jamais à atteindre ni à nommer, mais qui incarne notre présence au monde. » Isabelle Beaulieu, Lettres Québécoises

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« Le fantôme de Suzuko est un magnifique roman traitant du deuil amoureux dans les rues de Tokyo. » Anthony Barabé, Montréal Presse

 

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« C’est une histoire d’absence que raconte Le fantôme de Suzuko, mais en profitant des atouts d’une formidable présence : Tokyo, au cœur du récit. Troisième roman pour Vincent Brault, troisième habile démonstration de sa capacité à jouer avec la mort, les cadavres, la disparition. Ce n’est pourtant pas morbide, au contraire c’est attirant ! » Josée Boileau, Journal de Montréal

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« Ce roman fait partie de ceux qui tissent leur histoire tout en sobriété. Un voyage tout en mystère, en atmosphère et en fascination ! » Josianne Létourneau, La librairie francophone

 

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« Un roman géographique parvenant à faire de Tokyo un personnage aussi fort que ceux du roman. » Sarah-Émilie Nault, Le Journal de Montréal

 

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« Après avoir donné la parole à un macchabée (Le cadavre de Kowalski, 2015) et mis en scène un jeune homme attiré par les mourants (La chair de Clémentine, 2017), le romancier se transpose lui-même dans un récit aussi envoûtant que dépaysant dans lequel un écrivain montréalais retourne à Tokyo, où est disparue de manière singulière son amoureuse, célèbre taxidermiste et artiste de performance. » Manon Dumais, Le Devoir

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« Ce livre m'a réservé plein de surprises. J'ai aimé me promener à vélo dans Tokyo, découvrir le milieu de l'art tokyoïte et j'ai surtout adoré la manière dont l'intrigue est menée avec un style littéraire hyper contemporain. Les personnages sont inoubliables, traitant chacun à sa manière l'amour et le deuil. » Ariane, Librairie Tulitu, Bruxelles

La chair de Clémentine

« En tous points, ce récit se révèle être à la hauteur du premier roman, avec autant de revirements de situations, surprenants, parfois loufoques, souvent ludiques, fantastiques à souhait. » Hans-Jürgen Greif, Revue Frontières

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« Vincent Brault livre ici un ovni littéraire rafraîchissant, inventif et habillement ficelé. »

Guillaume Lepage, Le Devoir

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« Vincent Brault signe cet automne son deuxième roman, un récit flirtant avec le fantastique et l’enquête, qui séduira surtout par la force d’évocation de ses images étranges et poétiques. »

Catherine Voyer-Leger, Magazine Spirale

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« Quel bizarre de roman que signe ici Vincent Brault ! La chair de Clémentine est tout de glace et de froidure. Et pourtant, quelle chaleur humaine il dégage ! Après Le cadavre de Kowalski en 2015, où déjà il avait démontré sa grande habileté à jouer avec l’étrangeté, Vincent Brault publie un deuxième roman tout aussi singulier. On embarque, séduit par l’inventivité de l’auteur et sa maîtrise du genre » Josée Boileau, Le journal de Montréal

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« Qui a lu le premier roman de Vincent Brault, Le cadavre de Kowalski (2015, paru également chez Héliotrope), se réjouira de retrouver dans ce deuxième des éléments familiers : les températures abyssales au creux de l’hiver québécois, une tempête de neige d’enfer, un souterrain par où des animaux s’introduisent pour mourir auprès d’un jeune homme, une morte omniprésente, entourée de mystère. » Hans-Jürgen Greif, Revue Frontières

Le cadavre de Kowalski

« Employons le grand mot : il est rarissime de réussir du premier coup un grand livre où l’essentiel est dit sans hâte ni hachures. Dans sa première œuvre, un jeune auteur prend le temps qu’il faut pour que l’on s’abandonne totalement à son livre. Un texte bref, peaufiné sans que cela paraisse, où le ton est d’une parfaite justesse, sans la moindre fioriture, sans dentelles, jamais complaisant. » Hans-Jürgen Greif, Québec français

 

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« Une expérience littéraire. » Anne-Marie Bouthillier, Les libraires

 

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« Quel ouvrage aurait dû remporter un prix des libraires ? Le cadavre de Kowalski, premier roman de Vincent Brault publié chez Héliotrope en 2015, n’a pas reçu les égards mérités. Portée par une inventivité qui nous confond sans nous perdre, cette fiction immersive annonçait l’entrée en scène d’une voix franche et distincte. Trop hybride et bizarre pour figurer sur la liste du Prix des libraires, cette œuvre affiche pourtant une sagacité dans l’expression et une sobriété dans le déploiement que l’on retrouve peu dans la littérature fantastique moderne. Se placer à la croisée des genres confine parfois les auteur·es dans des catacombes magnifiques, mais solitaires. Ces lieux semblent inspirants, car La chair de Clémentine confirme l’immense talent du jeune auteur… » Olivier Boisvert, Lettres Québécoises

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« Le premier roman de Vincent Brault a de quoi étonner. Un récit inusité, audacieux, culotté. Un récit hors norme, qui ne ressemble à rien de connu. » Marie-Claude Rioux, La recrue

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« Premier roman solide, surprenant et inusité du jeune philosophe Vincent Brault. »

Catherine Lalonde, Le Devoir

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« Ce livre aurait pu être un roman de zombie banal, se contentant des clichés usuels du genre, mais l’originalité du personnage vient du fait que la pensée comme telle, bien vivante même si son enveloppe corporelle n’est plus qu’un cadavre, se meut à travers le corps, utilise les conduits corporels, les réseaux de viande qui nous constituent, pour se déplacer et ordonner des mouvements à la carcasse. Ce roman est ainsi persillé d’un humour noir décalé, philosophico-anatomique, car la pensée réifiée qui anime ce corps mort se bute à des problèmes mécaniques ou physiques qui font parfois sourire. » Bertrand Laverdure, Spirale

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« Étrange roman que ce premier livre signé Vincent Brault. Fable sur les liens identitaires entre corps et conscience, Le cadavre de Kowalski nous donne à voir la merveilleuse danse d’un esprit dans un corps qui lui échappe. Étonnant. » Judy Quinn, Magazine Nuit blanche

 

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« So there he lies — “dead. Or not.” — in this edgy, dark, and innovative story that is bursting with originality. » Peter McCambridge, Quebec reads

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